• Matériel

     

     

     

     

    un classeur format A4

    des feuilles simples et doubles 

    des pochettes transparentes 

    une trousse complète

    un jeu de 6 intercalaires

    une règle

    une calculatrice

    une clé USB 

    une paire d'écouteurs ou casque audio basique - connectique jack 3.5 mm (standard)

    des crayons de couleurs.   


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  • Les 5 règles à respecter en classe

     


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  • Bonne rentrée à tous


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  • Fin des années 60, Nintendo vend encore des cartes à jouer mais son président, Hiroshi Yamauchi, rêve d'orienter son entreprise vers l'industrie naissante du jeu vidéo. Un inventeur de génie, Gunpei Yokoi, va alors imaginer les Game & Watch, des jouets électroniques de poches devenus cultes au fil du temps.

     

    Game&Watch © 

    Et Gunpei Yokoi va avoir l'idée du Game & Watch  dans un train alors qu'il est assis en face d'un homme en train de jouer avec sa calculatrice. Il parle alors de cette expérience à Yamauchi durant un autre voyage, en voiture cette fois. Un peu plus tard, Yamauchi déjeune avec le PDG de Sharp, leader des écrans de calculatrice à l'époque, et lui parle de l'idée de Yokoi. Bingo.

    Le tout premier Game & Watch voit ainsi le jour le 28 avril 1980, sous le nom de Ball. Le héros est un petit personnage au nez proéminent qui doit récupérer, entre autre, des parachutistes avant qu'ils ne tombent dans l'eau. Succès immédiat. Nintendo est sauvé de la faillite. Au total, 59 Game & Watch verront le jour avec des personnages célèbres de la marque : Mario Bros, Donkey Kong ou encore Zelda.

    Des Game & Watch avec simple ou double écran qui ont non seulement annoncé l'arrivée quelques années plus tard de la Game Boy mais également de la Nintendo DS.

    Vendus à plus de 40 millions d'exemplaires dans le monde, ces Game & Watch font désormais le bonheur des collectionneurs, s'arrachant parfois à prix d'or sur Internet.

    Intervenants : Bertrand Amar journaliste et animateur à Direct Star ; Philippe Dubois, président et co-fondateur de l'association mo5.com

    Quelques titres majeurs : Chef, Green house, Pinball, Donkey kong II, Mickey & Donald, Mario's cement Factory, Ball, Bomb Sweeper


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  • Elle est pour beaucoup le symbole de l'âge d'or du jeu vidéo : la Super Nintendo. C'était aussi la grande époque de la "guerre des consoles".

     

    Super Nintendo © 

    D'un côté : la Super Nintendo, de l'autre la Megadrive de Sega, un rendez-vous à O.K. Corral qui démarre fin novembre 1990 pour Nintendo avec la sortie au japon de celle qui va succéder à la Nes, la Super Nes. Avec des jeux inoubliables : Super Mario World, Castlevania, StarFox, Zelda a Link to the past, Mario Kart, F-Zero, Super Metroid, Street Fighter 2, etc. Une bombe ludique.

    Une avancée technologique qui pouvait ainsi gérer une simili 3D grâce à son fameux mode 7. Une Super Nintendo qui bénéficia également d'un marketing savant pour séduire les joueurs. L'autre secret de la machine, c'était aussi sa manette. 

    Et si l'on excepte les ventes de la Wii et de la Nes, la Super Nes demeure la console de salon la plus vendue par Nintendo. Au total, plus de 2000 jeux y seront développés jusqu'en 2003, trois ans après la sortie de la PlayStation 2.

    Intervenants : Julien Chièze co-fondateur du site Gameblog.fr ; Guillaume Delalande, journaliste à LCI ; François-Xavier Desvilles, journaliste à pushstart.tv

    Quelques titres majeurs : Super Mario World, Yoshi's Island
    Donkey Kong Country, Donkey Kong Country 2, Donkey Kong Country 3,  Kirby Super Star, The Magical Quest starring Mickey Mouse, Mr. Nutz, Earthworm Jim, Super Ghouls and Ghosts, Super Castlevania IV, Legend of The Mystical Ninja, Ganbare Goemon 2, The Legend of Zelda -A Link to the Past, Chrono Trigger, Secret of Mana, Parodius! Non-Sense Fantasy, Super Mario Kart, F-Zero, Street Fighter II The World Warrior, Mario & Wario, Super Tennis, Super Punch Out!!.


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  • Elle est encore d'actualité et pourtant, son âge vidéoludique est canonique. La Xbox 360 de Microsoft sort aux États-Unis le 22 novembre 2005 et quelques jours plus tard en France.

     

    Xbox 360 © Creative commons

    Deux ans plus tôt, son nom de code était " Xenon ". Elle a failli s'appeler Xbox Next, Xbox 2, Xbox FS, Xbox HD ou encore Nextbox4 avant finalement d'être baptisé officiellement Xbox 360. Avant Sony et sa PlayStation 3, c'est cette console de salon qui marque l'entrée du secteur dans l'ère de la haute définition et du sans-fil pour les manettes. Et les innovations ne s'arrêtent pas là.

    La Xbox 360 qui effectuera également le premier lancement mondial d'une console dans l'histoire du jeu vidéo. Et c'est le créneau de cette machine encore bien vivante : prendre un maximum d'avance sur la concurrence, un choix payant pour Microsoft.

    Et mise à part le japon, la planète jeu vidéo vibre toujours au diapason de cette machine increvable vendue à près de 70 millions d'exemplaires. En seulement deux générations : Xbox et Xbox 360, l'américain Microsoft s'est imposé dans l'univers impitoyable des constructeurs de console.

    Intervenants : Julien Chièze co-fondateur du site Gameblog.fr; Rahan, rédacteur en chef à Gameblog.fr

    Quelques titres majeurs : Halo 3, Gears of War 2, Mass Effect 2, Devil May Cry 4, Fable III, Batman Arkham City, Red Dead Redemption, Forza Motorsport 4, Dead Space, Rayman Origins, NBA 2K12, F1 2011, FIFA 12.


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  • Son nom claque désormais au firmament des légendes du jeu vidéo. Sans pour autant avoir connu le grand succès : la Master System, console de salon 8 bits produite par Sega et qui débarque en septembre 1987 dans une France où TF1 vient d'être privatisée.

     

    Sega Master System © 

    Quelques mois plus tôt, face au succès de la console NES de Nintendo, Sega décide de frapper un grand coup en lançant sa Master System, un projet de console de salon qui dormait dans les tiroirs pour cause de coût de production trop important. A sa sortie, la machine n'est certes plus révolutionnaire, mais propose des jeux de qualité.

    Et la principale raison de l'échec de la "SMS", la Sega Master System, c'est donc la NES, reine des consoles de salon. Nintendo détenait à l'époque près de 90% de parts de marché.

    Ce qui n'empêcha pas la Master System de séduire en France et en Europe, un succès honorable qui permit à Sega de sortir, en 1990, la Sega Master System II. Elle y sera vendue jusqu'en 1995, et donnera naissance à quelques excellents jeux que les Américains ne verront jamais.

    Intervenant : Patrick Hellio, journaliste jeu vidéo à eurogamer.fr

    Quelques titres majeurs : Sonic, Sonic 2, Gauntlet, Shinobi, Shadow Dancer, Choplifter, Chuck Rock 2, Chuk Rock, Alex Kidd in Miracle World, Asterix, Transbot, Action fighter, Castle of illusion, Les Schtroumpfs, Super monaco, Moonwalker, Astérix, Space Harrier, R-type.


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  • Elle fut la machine la plus puissante de son époque. La Colecovision, console de salon survitaminée, sort en été 1982 et propose alors des graphismes similaires aux jeux d'arcade. Un véritable rêve de joueur.

     

    Colecovision © 

    La Colecovision, c'était aussi un joystick pour le moins spécial, muni d'un pavé numérique, d'un bouton de chaque coté, et d'un stick très court en forme de disque. Original, oui, mais absolument peu pratique pour le joueur, don't act. Ce qui n'empêcha pas la Colecovision d'occuper un rôle majeur dans l'histoire du jeu vidéo en France. 

    La Colecovision, une console de luxe au succès prometteur, 500 000 machines seront ainsi vendues en quelques mois aux Etats Unis. Malheureusement, cette CBS Colecovision fut victime, comme tant d'autres, du krack du jeu vidéo en 1983. Une existence éphémère qui a tout de même permis à ce bijou technologique de passer du rang de simple console à celui de légende.

    Intervenant : Philippe Dubois, président et co-fondateur de l'associationmo5.com

    Quelques titres majeurs : PacMan, Zaxxon, Frogger, Time Pilot, Donkey Kong, Les schtroumpfs, Space Fury, The Dukes of Hazzard, Tapper, H.E.R.O.


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  • Console portable ou pas console portable, la question n'est plus à l'ordre du jour pour ce terminal qui révolutionna la téléphone mobile : l'iPhone, devenu au fil du temps une console de jeux à part entière.

     

    iPhone © 

    C'est en 2001, à Paris, quartier de l'Opéra que le destin de l'Apple iPhone démarre, à plus de 9000 kilomètres de la Californie. 6 ans plus tard, 29 juin 2007, Steve Jobs, le feu patron d'Apple présente, après des mois de rumeurs et de spéculations, le tout premier iPhone.

    Et si à cette époque pas si lointaine, l'iPhone était très en avance sur son temps, grâce à son écran tactile multi-touch, son navigateur mobile, sa messagerie vocale visuelle, etc. La marque à la pomme n'envisageait pas encore d'en faire une star vidéo ludique.

    Ainsi, rien n'y était personnalisable, on ne pouvait même pas bouger les icônes, et surtout le système ne comportait pas d'App Store, le supermarché applicatif made in Apple qui permet de télécharger, entre autre, des jeux.

    C'est en juillet 2008, avec l'arrivée d'une mise à jour du système que la firme de Cupertino va lâcher cette bombe sous la pression des hackers : l'App Store ouvrait ses portes avec 500 applications. Les jeux vidéo y firent très vite la loi avec des best seller comme Angry Birds, Cut The Rope, Flight Control, Paf le chien. Et des prix défiant toute concurrence. Des jeux vidéo qui permettent également de renouer avec l'âge d'or de ce média.

    Une offre pléthorique qui n'empêche pas le jeu vidéo mobile de séduire en masse : le nombre de joueurs sur smartphone en France s'élève désormais à 14 millions.

    Intervenant : Julien Chièze co-fondateur du site Gameblog.fr

    Quelques titres majeurs : Angry Birds, Jetpack Joyride, Contre Jour, Tiny Wings, Superbrothers: Sword & Sworcery, World of Goo, Battleheart, Jazz, Infinity Blade, Ski Safari, Cut the Rope, Temple Run, Fruit Ninja, Plant VS Zombies, Real Racing 2, Secret of Monkey Island 1 et 2, Yersteday, Max and the Magic Marker, L'Âge de Glace: Le Village.


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  • Elle sauva à elle seule un marché du jeu vidéo à la dérive. La Nes pour Nintendo Entertainment System, une console de salon qui sort en 1983 au japon sous le nom de Famicom et qui touchera le sol français en 1987.

    Nes © 

    Et à l'époque, le jeu vidéo est mal vu, has been. Vite fait, mal fait, trop cher, le japonais Nintendo prend le contrepied et prône la qualité et le divertissement avec sa console de salon Nes. Un centre de divertissement dont le prix est aussi un argument marketing. Un Nintendo Entertainment System qui doit beaucoup à sa manette révolutionnaire et une croix directionnelle désormais classique et surtout à un créateur génial : Shigeru Miyamoto. C'est lui qui va imaginer Zelda, Donkey Kong et surtout la première superstar pop de l'histoire du jeu vidéo : Mario.

    Et preuve du succès phénoménal de la Nes, les enfants américains connaissent alors Mario aussi bien ou mieux que Mickey Mouse. Sans oublier d'autre succès comme Megaman, Zelda, Punch Out, Duck Hunt, Metroid. En France, la Nes marquera toute une génération plus qu'aucun autre objet de consommation.

    Intervenants : Guillaume Delalande, journaliste à LCI ; Daniel Ichbiah, auteur de la Saga des jeux vidéo aux éditions Pix'n Love

    Quelques titres majeurs : Super Mario Bros, Bubble Bobble, Gradius, Kirby, Metroid, TMNT, Zelda, Megaman 2, Castlevania, Punch Out, Adventure Island, Double Dragon II, Batman.

     

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