Le nouveau datacenter d' Orange dans le centre de Val-de-Reuil en Normandie. C'est le plus grand centre de données d'Europe avec une superficie de 22.000 kilomètres carrés.
A-t-on suffisamment d'informaticiens en France ? Sont-ils bien formés ? Dans quelques semaines ouvrira " l'école 42 ", un nouvel établissement insolite fondé par le médiatique Xavier Niel.
Plouf ! Direction la piscine. C'est le nom des épreuves de sélection de l'école 42 qui se déroulent depuis le mois de juillet. 70 000 demandes, 3000 candidats en 3 fournées dont il ne restera qu'1 millier d'élus pour le début des cours prévus mi-novembre. Une école pas comme les autres ou la sélection se fait exclusivement sur ordinateur pour devenir programmeur.
Ce n'est pas la première école d'informatique en France. Citons Epita, Epitech, etc...Particularité de 42 : l'école est gratuite et ouverte à tous, même aux non-bacheliers. Du coup, elle attire des profils très divers.
On le dit morose, à bout de souffle, mais le jeu vidéo japonais produit encore des jeux séduisants. Et ça commence avec un célèbre aventurier.
The Legend of Zelda : the Wind Waker
Du neuf avec du vieux. Pour redonner un coup de fouet à sa nouvelle console de salon en berne du côté des ventes, la WiiU, Nintendo propose un remake haute définition de The Legend of Zelda : The Wind Waker. Et dix ans après sa première sortie sur console Gamecube, cette aventure est toujours aussi féerique. L'histoire : Le jour de son anniversaire, le jeune Link assiste, horrifié, à l'enlèvement de sa sœur Arielle. Accompagné de pirates réjouissants, le voyage sur les mers peut commencer. Objectif : défier le terrible Ganondorf.
Un enchantement visuel proche de l'animation, un charme toujours vivace, un style intemporel
Chasses aux trésors, énigmes multiples, exploration maritime, Nintendo a même écouté les critiques en améliorer le rythme du jeu. Les tâches répétitives sont désormais limitées, mais malheureusement, pas de nouvelles quêtes à l'horizon. Reste un enchantement visuel proche de l'animation, un charme toujours vivace sur WiiU, un style intemporel qui fait de The Legend of Zelda : The Wind Waker sur WiiU une des merveilles de cet automne ludique.
Et oui, chaque automne de chaque année depuis la nuit des temps ou presque, c'est la même rengaine : les deux mastodontes du football virtuel s'affrontent dans un duel homérique. PES versus FIFA, Fifa versus PES. Et si depuis quelques années c'est FIFA qui remporte le match sans prolongation, PES tente encore toujours de dribbler le favori des joueurs.
FIFA 14
Et bien en 2013, rien ne change. Avec FIFA 14, la licence d'Electronic Arts s'impose encore malgré le renouveau affiché par PES 2014. D'abord il y a la jouabilité. FIFA 14 peaufine quelques mécanismes avec un rythme un peu plus lent mais un réalisme de mouvement bluffant et des défenses de fer.
PES 14 lui fait peau neuve avec un tout nouveau moteur graphique qui affiche plus de détails malgré des visages de joueurs parfois raté comme celui de Gignac ou Gourcuff. Mais surtout, il permet enfin une ambiance footballistique digne de ce nom.
C'est mieux, mais pas assez. Les ambiances des stades, les commentaires, les ralentis, les dribbles, les contenus divers et variés, FIFA 14 en impose et s'impose encore avec un score plus serré. Le champion conserve son titre. Vivement la saison prochaine.
Apple vient de détrôner Coca-Cola dans le classement des marques les plus valorisées au monde. La marque à la pomme a vu sa valeur grimper de 28% pour atteindre 98,3 milliards de dollars. Google se classe deuxième, et Facebook connaît la plus forte progression d'un classement très axé nouvelles technologies.
Pour la première fois depuis 13 ans, Coca-Cola n'est plus la marque la plus chère au monde. Elle a légué sa place aux deux nouveaux géants du numérique, Apple et Google, et a donc rétrogradé à la troisième place du classement 2013 publié par le cabinet Interbrand.
C'est donc la marque à la pomme qui vient se classer à la première place, forte d'une progression de 28% qui fait monter sa valeur à 98,3 milliards de dollars. A titre de comparaison, c'est un peu plus que la fortune de Bill Gates. Apple récolte ainsi les bénéfices des ventes de ses derniers iPhones, estimées à 9 millions d'unités écoulées en un seul week-end.
Dans le même temps, Google a connu un bond de 34% pour peser plus de 93 milliards de dollars en 2013 et prend la deuxième place du classement. Coca-Cola, qui se valorise tout de même à 79,2 milliards, ne connaît qu'une progression de 2%.
C'est Facebook qui enregistre la plus forte progression. Le réseau social, dont l'action a été introduite en bourse en mai 2012, progresse de 43% et monte jusqu'à la 52ème place du classement, avec une valeur estimée à 7,7 milliards de dollars. Amazon (19ème) grimpe lui aussi de 27%, confirmant la main-mise du numérique au sein des grandes entreprises mondiales, puisque IBM et Microsoft sont respectivement 4ème et 5ème.
Autres secteurs d'activité florissants : le luxe et l'automobile. L'illustration la plus significative est sans doute Prada, dans le top 3 des plus fortes progressions avec une hausse de 30% de sa valeur (de 4,2 à 5,7 milliards de dollars). Cartier n'est pas en reste, avec une augmentation de 26%.
Le classement des progressions les plus marquantes illustre de réelles tendances. On s'aperçoit ainsi qu'en 2013, pas moins de trois entreprises automobiles se classent parmi les 10 premières : Porsche (26%), Nissan (25%) et Hyundai (20%).
Louis Vuitton première marque française
Côté français, Louis Vuitton arrive en tête des entreprises de l'Hexagone. Avec 24 milliards de dollars, elle se place en 17ème position du classement général. Loin devant L'Oréal (39ème, 9 milliards de dollars) et Danone (49ème, 7 milliards de dollars).
Le classement ne se cantonne pas au simple chiffre d'affaires des entreprises. Il prend également en compte le rôle de la marque, c'est-à-dire en quoi elle contribue à la décision d'achat du consommateur, et aussi la compétitivité de la marque sur son secteur d'activité.
Sony et Microsoft ont dévoilé leurs consoles de future génération au salon E3 de Los Angeles. La nouvelle guerre des consoles peut commencer.
La PS4 de Sony (à gauche) et la Xbox One de Microsoft (à droite)
Chose promise, chose due. Aux millions de fans qui guettaient leur arrivée sur le Net, les constructeurs ont enfin donné satisfaction en dévoilant au salon E3 de Los Angeles les consoles de jeu de nouvelle génération. En tout cas Microsoft et Sony. Et la bataille s'annonce aussi musclée qu'une partie de Call of Duty.
Sony l'emporte sur le papier
D'abord le prix, qui est l'élément différenciant par excellence : la Xbox est annoncée à environ 500 Euros tandis que la PS4 - c'est une surprise - coûtera 100 Euros moins cher à environ 400 Euros. Cet écart de prix pourrait faire la différence pour de nombreux joueurs. D'autant que Sony, qui est le dernier à dévoiler son bébé, ne manque pas d'en souligner les points forts par rapport à ses concurrents. Alors que la Xbox One fait déjà l'objet de vives critiques parce qu'elle ne permettra pas d'utiliser les anciens jeux, Sony annonce fièrement que sa PS4 n'aura pas ce problème et sera rétrocompatible. Autre problème sur la Xbox One : il faudra la connecter à Internet au moins une fois par jour sinon les jeux ne seront pas praticables. Pas de ça chez Sony qui obligera seulement à laisser le disque dans la console comme d'habitude. Bref, au premier abord, le japonais Sony frappe fort marque des points face à son concurrent américain.
Microsoft n'a pas dit son dernier mot
Cependant, la Xbox One possède des atouts qui ne laisseront pascertains insensibles. D'abord, c'est bien plus qu'une simple console de jeu puisqu'elle permet également de regarder et d'enregistrer la télé. Ensuite, pour 100 Euros de plus, on bénéfice de l'accessoire de reconnaissance vocale et gestuelle Kinect qui a su se rendre utile dans de nombreux jeux vidéo. Enfin, la Xbox proposera de nombreux titres en exclusivité.
Rendez-vous à Noël
Microsoft décidera-t-il à la dernière minute de réviser son positionnement prix et peut-être aussi la contrainte de connexion quotidienne à Internet ? On verra bien. Les géants du divertissement ont encore quelques mois pour ajuster le tir puisque ces nouvelles consoles ne sortiront pas avant la fin de l'année. Elles viendront rejoindre dans les magasins la Wii U de Nintendo proposée elle à environ 350 Euros.
Même si VoltAir n'est aujourd'hui qu'un concept de recherche amont encore loin d'une phase de vol opérationnelle, qui pourrait intervenir d'ici 25 ans de commercialisation, il préfigure bel et bien les avions du futur qui adopteront des systèmes de propulsion sans émission.
1. Quels sont les principaux enjeux technologiques de VoltAir ?
Les défis technologiques que doit relever la conception d'un avion zéro émission sont principalement de 3 ordres. Le premier concerne les batteries et le stockage de l'énergie, car faire voler un véhicule aérien requiert une énergie très importante pendant toute la durée du vol. Le deuxième défi est celui de la motorisation, avec la nécessité de développer une nouvelle génération de moteurs électriques disposant d'une densité de puissance comparable aux propulsions actuelles (autour de 7 kw/kg). Le troisième et dernier défi est celui de la structure de l'avion, de son poids et de son aérodynamisme afin de limiter les besoins énergétiques de ce dernier, tout en assurant un confort de vol maximal et une diminution des nuisances sonores.
2. Comment stocker l'énergie nécessaire au fonctionnement de VoltAir ?
Au cours de la dernière décennie, les performances des batteries à haute densité énergétique ont connu des avancées spectaculaires, stimulées par la forte demande de l'industrie automobile via l'utilisation croissante de véhicules hybrides ou électriques. Cependant, les technologies actuelles ne sauraient répondre aux besoins nécessaires au fonctionnement d'un avion de ligne zéro émission. Les recherches se portent donc aujourd'hui sur l'intégration de nouveaux matériaux visant à multiplier par plus de deux, d'ici une vingtaine d'années, les performances des batteries actuelles les plus sophistiquées, permettant ainsi d'atteindre des densités énergétiques supérieures à 1000 Wh/kg. Pour ce faire, la technologie lithium-air apparaît la plus prometteuse car elle permet de stocker beaucoup plus d'énergie à poids égal que les batteries lithium-ion utilisées à présent, et répond ainsi aux exigences du concept VoltAir.
Par ailleurs, afin de limiter les temps d'intervention et de réduire le poids de l'appareil, ces batteries sont intégrées dans des conteneurs remplaçables installés dans la partie inférieure du fuselage. Ceci facilite le remplacement des batteries épuisées dans les aéroports, selon un processus similaire aux conteneurs à bagages. La recharge et la maintenance des batteries seront donc effectuées hors de l'avion, ce qui permet de réduire considérablement le poids et la complexité du système de batteries embarqué.
3. Quels types de moteurs électriques peuvent être capables de faire voler VoltAir ?
Disposer de la motorisation adéquate constitue en soi un deuxième défi technologique car c'est cette propulsion entièrement électrique qui permettra un niveau sonore extrêmement bas et l'arrêt des émissions de dioxyde de carbone (CO2) et oxyde d'azote (NOx). L'équation est simple : ces moteurs électriques couplés à des hélices devront fournir une puissance suffisante avec des rapports poids/puissance au moins égaux aux turbomoteurs actuels. Il s'agit pour cela de limiter au maximum la perte d'électricité et donc d'énergie entre les batteries et le moteur et dans le fonctionnement du moteur lui-même afin de viser un rendement optimal.
La solution technologique réside dans l'utilisation de câbles et de moteurs supraconducteurs. La supraconduction est un phénomène qui apparaît chez certains matériaux refroidis à des températures très basses (inférieures à -183°C) et qui leur permet de disposer d'une résistance électrique proche de zéro. Le recours à ce type de matériaux autorise le développement de moteurs électriques générant une puissance et un couple beaucoup plus importants avec des câbles plus fins et à une taille et un poids réduits. Le système de refroidissement servant à générer des températures supraconductrices utilisera de l'azote liquide afin d'en limiter les coûts et de respecter l'environnement.
4. Quelles sont les autres particularités de VoltAir ?
La performance d'une propulsion électrique dépend de sa consommation énergétique et du poids du système de batterie, qui est structurellement plus lourd que le volume équivalent de kérosène. Or, plus l'avion sera lourd, plus ses performances seront diminuées.
VoltAir exige donc une structure extrêmement légère avec des dispositions aérodynamiques excellentes (réduction de la traînée).
Pour réduire le poids de l'appareil, VoltAir intégrera principalement des matériaux composites avancés à base de carbone. En parallèle, la répartition de son poids sera également optimisée. En effet, contrairement au kérosène qui, brûlé en vol, modifie la répartition des poids dans les avions classiques, le poids des batteries est fixe, permettant une optimisation de la répartition des masses au service du comportement de l'appareil, de sa consommation d'énergie et de son aérodynamisme. Ainsi, le moteur est situé à l'arrière de l'appareil tandis que les trains d'atterrissage sont intégrés dans un fuselage de grand volume, permettant de disposer d'ailes plus fines générant moins de traînée. Le système de propulsion à hélices contrarotatives est également caréné et dimensionné afin d'optimiser l'efficacité propulsive de l'appareil. Enfin, l'optimisation aérodynamique du fuselage diminue considérablement les niveaux sonores dus aux flux d'air circulant le long du revêtement.
From April 1 to 7, and for the first time, Tara will be docked in the heart of Bordeaux, at the Ponton d'honneur, Quai Richelieu. To raise public awareness about the ecological crisis threatening the world's oceans, and to share the adventure of the Tara Oceans Expeditions, several events will be organized during this Week of Sustainable Development. We look forward to seeing you at one of Tara's last stopovers before departure for the Arctic!
Du drone livreur de journaux au four à micro-onde sous Windows, la planète high-tech s'est déchaînée cette année encore pour le 1er avril avec une avalanche de fausses innovations annoncées sur Internet.
Google nose
Transmission d'odeur par Internet
Comme chaque année, Google a sorti les gros moyens pour ce 1er avril en essayant de nous faire croire cette année à la transmission d'odeurs par Internet. Un procédé baptisé Google Nose, site dédié à l'appui. Cela dit, ce n'est pas idiot car des expérimentations en ce sens ont déjà eu lieu il y a plusieurs années à l'aide de tubes à essais connectés à des ordinateurs.
Youtube fermé pendant 10 ans
De son côté, Youtube, qui appartient à Google, n'a pas fait dans la finesse avec un poisson d'avril un peu balourd annonçant la soi-disant fermeture du site jusqu'à l'élection, dans 10 ans, de la meilleure vidéo de tous les temps.
Livraison de journaux par AR drone
Plus élégant, le français Parrot a monté un joli coup avec La Poste : c'était l'annonce d'un service de livraison du journal par dronetélécommandé. Pour aller plus vite, sauter par-dessus les barrières et les chiens méchants, pourquoi ne pas apporter les journaux chez les abonnés à l'aide de l'AR drone piloté par iPhone du fabricant français ? Pour faire plus vrai, le canular a même été lâché sur le Web 48h avant le 1er avril sous la forme d'un communiqué de presse au point que certains médias s'y sont laissé prendre comme le San Francisco Chronicle qui a consacré un article entier à cette pseudo-expérimentation. Pourtant, en étant un peu geek, lorsque l'on connaît les contraintes de pilotage, d'autonomie et de rayon d'action du quadricoptère Parrot, on pouvait deviner assez vite qu'il s'agissait d'un poisson d'avril.
Drone livreur de journaux (fake)
Lunettes à réalité virtuelle
Plus sérieux, le quotidien anglais The Guardian s'est fendu d'une vidéo pour dévoiler des lunettes à réalité virtuelle qui plonge le lecteur au cœur de l'actualité en temps réel. Ne riez pas : un jour ou l'autre, cela pourrait bien voir le jour !
Four à micro-ondes Nokia
Canular toujours... Le fabricant finlandais de téléphones mobiles Nokia a fait croire qu'il lançait un... four à micro-ondes qui "arrête la rotation du plat lorsqu'on le regarde et qui ajuste automatiquement la température en fonction de votre faim". Un appareil plutôt joli et Nokia aurait peut-être intérêt à réfléchir sérieusement aux fours à micro-onde si son aventure dans la téléphonie mobile tournait mal.
Et aussi...
Enfin, ajoutons des casques audio pour animaux signés Sony et Twitter qui déciderait de faire payer les voyelles. Voilà pour ce florilège partiel des poissons d'avril high-tech de 2013.
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